Une interview de Céline dans le Bassin d’Arcachon
La vente directe
Céline tu ne connaissais rien à la vente directe, avec maintenant 2 ans de recul, que penses-tu de ce métier ?
Effectivement je ne connaissais rien à la vente directe, j’en avais une image pas vraiment positive, véhiculée par des médias pas toujours enthousiastes sur ce type de vente.
J’ai complétement changé mon avis.
C’est une approche commerciale et relationnelle avec un client très différente et intéressante.
Mais mon avis est très lié à Saporissimo, je ne sais pas si j’aimerai la vente directe dans une autre société.
J’aime les produits Saporissimo, j’aime Saporissimo, d’autres ne me plairaient peut-être pas.
Il y a de l’intelligence dans le projet, c’est un beau projet dans lequel il y a beaucoup de choses qui me nourrissent aussi intellectuellement. C’est le cas de le dire !
La cuisine, une passion
Tu avais déjà travaillé dans la cuisine, qu’y as-tu fait et comment compares-tu les activités ?
J’avais créé et géré un food-truck, je cuisinais, je servais, j’étais au four et au moulin, je faisais tout.
Avec Saporissimo, je retrouve aujourd’hui le plaisir de la convivialité d’évènements pour retrouver les gens autour de la cuisine sans les inconvénients de faire la cuisine de façon plus automatique.
C’est simple, bon et tout aussi convivial. Je n’ai aucun regret par rapport à mon ancienne vie !
Et Saporissimo ?
Que penses-tu de la société, de ses valeurs ?
J’y adhère à 100%. C’est pour cela que j’y suis toujours.
Je crois énormément à ces valeurs et c’est très très intéressant de les voir vivre au quotidien et de voir leur transcription dans les actes.
Et de l’ambiance ?
Très très conviviale, bienveillante, sympathique, un vrai plaisir.
Je n’ai jamais vécu cela dans mes anciennes vies professionnelles, c’est une ambiance très riche.
Les commissions
Que penses-tu du plan de commissionnement de Saporissimo ?
Je le trouve très intéressant, juste et intelligent
Malgré le Covid, tu as réalisé jusqu’à 1200 E de commissions mensuelles, exclusivement sur tes ventes, penses-tu qu’il est difficile de générer des revenus intéressants avec Saporissimo, sans avoir encore de revenus liés à une équipe ?
Non je pense que ce n’est pas difficile. Il faut une conjoncture normale.
J’ai commencé juste avant le Covid de façon très dégradée…
Tu as démarré juste avant la 1ère vague de Covid et tu as pu développer malgré cela une clientèle, comment as-tu fait ?
Ce qui m’a aidé, je n’ai pas eu de pression sur le chiffre d’affaire à réaliser.
J’ai commencé avec mon petit réseau. Et entre les confinements, on a bien travaillé. Pendant le Covid, je n’ai pas pu encore vivre des commandes récurrentes car j’ai démarré juste avant !
Comme pour beaucoup, ces 2 dernières années ont été en montagnes russes, t’es-tu sentie seule ?
Non, j’ai trouvé très astucieuse la façon dont Saporissimo l’a gérée.
On en a profité pour mettre en place des choses que l’on ne maitrisait pas du tout, les ateliers sous zoom, on a pu bien se former. La formation s’est bien développée. C’était déjà bien quand je suis arrivée mais maintenant c’est top.
Animer une équipe
Malgré le Covid, tu es devenue Manager confirmée, avec une équipe de 4 personnes. Qu’est-ce que tu recherches avec cette dimension d’animation d’équipe ?
Je cherche à ce que les gens prennent bien leurs marques. Je partage un maximum mon expérience, je suis beaucoup dans l’échange avec eux.
J’espère qu’ils vont pouvoir s’épanouir autant que je moi je peux m’épanouir.
Et d’autres vont nous rejoindre !
Et pour toi ?
Des avantages économiques et financiers bien sûr, et au-delà du matériel, c’est aussi une reconnaissance de mon investissement et de mon travail auprès de Saporissimo.
Les outils
Comment juges-tu l’outil de formation ainsi que les sessions de formation et d’échange auxquelles ton équipe peut participer ?
Formidable, c’est un outil qui s’est beaucoup développé et amélioré pendant le confinement. Quand je suis arrivée, c’était déjà très bien.
Il est très performant et très intéressant pour les nouveaux arrivés et même pour les anciens. J’y retourne très régulièrement.
Sur quoi t’appuies-tu pour développer ton activité ?
Beaucoup sur mon bon relationnel avec certains, sur mon feeling.
Ce que je n’aime pas faire, je ne le fais pas.
Je développe mon activité avec quelque chose qui vient du cœur et cela marche toujours bien.
Chaque fois que le côté affectif entre en jeu je suis très performante en chiffre et en impact client.