Jérôme peux-tu te présenter en quelques mots ?
J’ai 56 ans, marié et père de 2 filles. Je suis comptable fiscaliste de formation, mais j’ai beaucoup travaillé dans le marketing affinitaire où j’étais en contact avec des partenaires pour différents programmes de fidélisation.
Je suis également, et ce depuis mon plus jeune âge, fortement impliqué dans l’associatif. D’abord dans le scoutisme et depuis un peu moins de 10 ans au Lions Club International où j’occupe une fonction importante au sein du District.
Jérôme, tu connaissais la vente directe avant de rentrer chez Saporissimo ?
Oui je connaissais. J’ai été actif chez Thermomix pendant 7 années. Conseiller, Team leader puis Branch manager. J’ai géré environ 125 conseillers chez Thermomix.
Avec ce recul, si tu devais mettre en avant les points clés suite à ton expérience chez Saporissimo ?
- Des produits de qualité, de très grande qualité.
- Une large gamme de produits. Chez Thermomix, je n’avais qu’un produit à mettre en avant. Chez Saporissimo, on a une très belle gamme.
- On a surtout une société très humaine, où on peut partager ensemble entre conseillers, avec le management. Quelque chose de convivial aussi.
- Par rapport à la clientèle, je remarque que les clients acceptent plus facilement une dégustation Saporissimo, qu’une soirée autour d’autres produits que l’on trouve en VDI. Parce que l’on va pouvoir manger, parce qu’il y a peu de choses en VDI-à part des bonbons- en alimentaire en vente directe.
Tu as fait autre chose que de la vente directe dans ta carrière ?
Je suis comptable, fiscaliste de formation. Par amour de la cuisine j’ai fait des études en cours du soir de restaurateur traiteur. J’ai fait des stages chez des chefs étoilés. Puis je me suis lancé à mon compte dans l’organisation d’évènements gastronomiques : traiteur, chef à domicile, banquets, … avant de me dire qu’il fallait que je me calme un peu. C’est un peu cela qui m’a amené vers la vente directe, la recherche de prestations plus feutrées.
Tu as donc fait plein de choses avant, qu’est-ce qui est intéressant pour les gens qui ne connaissent pas la vente directe, qu’est-ce que tu mettrais en avant ?
Le contact humain. C’est chaque fois une nouvelle histoire. Je trouve cela très agréable. Avant-hier j’ai fait une dégustation. J’en fait une demain. Cela sera différent. Alors que l’on est sur les mêmes produits, les mêmes principes. L’interaction est très différente, il ne faut pas être formaté. Et c’est ce qui me plait.
Où en es-tu dans ton parcours ?
Cela fait bientôt 2 ans, un peu moins. Au début, c’est pas évident, les 1ers mois. Les 2 ou 3 1ers clients on les a toujours. Ensuite, il faut décoller. Après deux ans, j’ai un bon nombre de clients (550). Certains sont réguliers dans leurs commandes, même si c’est encore à améliorer. Je réussi à faire pas mal de dégustations (une petite centaine en 2 ans). J’ai aussi des conseillers actifs qui me suivent dans mon équipe (une dizaine). Je suis passé Partenaire en début d’année.
Comment tu juges le timing de développement ?
Pour mes ventes, je suis dans ce que je m’étais fixé. Pour l’équipe c’est un peu plus long.
A quoi tu l’attribues ?
La société est encore peu connue. En Belgique en vente directe, les gens sont principalement en activité complémentaire. Chez Saporissimo, il n’y a pas de produits phare comme un robot culinaire dont tout le monde va parler. Parfois aussi, certains conseillers baissent un peu trop vite les bras.
Tu as connu d’autres sociétés VDI, que peux-tu dire du plan de commissionnement ?
Je le trouve très confortable. En conseillant bien les clients lors des dégustations, on s’y trouve bien et on gagne bien sa vie.
Il est compliqué ?
Il est très simple
Il y a des avantages connexes pour les conseillers ?
Les produits de dégustations se renouvellent tout le temps. Le financement se fait automatiquement en fonction du dynamisme de chacun.
Il y a aussi les produits de régularité à 50%. C’est très intéressant pour gouter soi-même, pour remercier un client qui nous a fait connaître à un ami, par exemple.
Et en plus sur tout achat personnel, le conseiller bénéficie d’une réduction de 25%, donc ce n’est pas négligeable.
Si tu devais mettre en avant des moments qui t’ont marqué depuis ton démarrage ?
Mon 1er Vinissimo, dans un endroit magique – j’y retourne toute à l’heure d’ailleurs- une cave fabuleuse avec des amateurs de vins. Un super moment.
Le 2ème, la 1ère dégustation après Covid. Le rappel avait été battu par l’organisateur. On s’est retrouvés à 21, fenêtres ouvertes, appareils pour renouveler l’air, l’alarme qui a sonné deux fois pour dire qu’il fallait renouveler l’air. J’ai fait la présentation avec un masque. C’était génial. Tout le monde a bien aimé. Et j’ai fait de très très grosses ventes. Les gens avaient envie de se retrouver.
Le 3ème, pendant les vacances que nous avons prises en famille en Italie, la rencontre avec certains de nos producteurs.
Après ce bilan comment vois-tu l’avenir ?
Bien. Il faut continuer. Il faut trouver des nouvelles formules, des nouvelles accroches. La société est dynamique. Je me sens bien.
Certaines sociétés de vente directe sont en difficulté. Qu’est-ce qui te fait penser que Saporissimo évitera ces difficultés ?
Je pense le côté PME.
Autant Saporissimo n’est pas encore très connue face à Tupperware, Demarle, Thermomix ou d’autres ? Il n’y a pas les mêmes investissements dans de la communication, dans des voitures de société, plein d’artifices qui n’en valent pas la peine.
Par contre Saporissimo garde tout l’essentiel de la vente directe. Cela passe par l’offre de contact avec les conseillers. C’est l’humain et c’est primordial.